France services et Numérique
France services et Numérique
Les espaces France services
La Communauté des Communes Rurales de l’Entre-Deux-Mers a ouvert sur son territoire, 2 espaces France services à Targon et Sauveterre-de-Guyenne.
Le réseau France services fait écho aux volontés du Gouvernement de rapprocher le service public des usagers.
Santé, famille, retraite, droit, logement, impôt, recherche d’emploi, accompagnement au numérique : à moins de 30 minutes de chez vous, les agents France services vous accueillent et vous accompagnent pour toutes vos démarches administratives du quotidien. L’objectif est de proposer une offre élargie de service au public, au plus près de vous.
Sur les deux sites, l’accueil des usagers se fait par une équipe de 4 agents, Mathilde Ortiz, Sonia Canu, Aurélie Frango et Élodie Volpoet à Sauveterre-de-Guyenne et Targon, parfois aidée par Valérie Musset.
Un espace multimédia est intégré au fonctionnement de la structure et mis à disposition en libre accès avec un poste informatique relié à une imprimante. Il permet aux usagers non pourvus de matériel informatique et/ou d’internet d’accéder à ces équipements. Pour information, la collectivité dispose également d’un wifi public offrant à tous une connexion gratuite.
France Services Sauveterre-de-Guyenne
- Lundi au jeudi de 9h à 12h et de 14h à 17h
- Vendredi de 9h à 12h
82, rue des Martyrs de la Résistance et de la Déportation
33540 Sauveterre-de-Guyenne
05 56 71 81 76
France Services Targon
- Lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h
10, rue René Pezat
33760 Targon
05 54 07 14 63
La conseillère numérique
La Communauté des Communes Rurales de l’Entre-Deux-Mers a également complété l’équipe France services par une conseillère numérique itinérante : Irène DE PAZ.
Présente sur notre territoire, elle propose un accompagnement individuel et collectif, pour les habitants rencontrant notamment des difficultés dans l’utilisation des différents outils numériques : ordinateur, téléphone portable, smartphone, tablette, application mobile, mail…
Des ateliers thématiques de proximité sont proposés afin de faciliter les démarches et usages numériques du quotidien, et sensibiliser aux enjeux du numérique.
Un planning d’intervention est défini par trimestre et communiquer via les Communes et les outils de communication de la collectivité.
Ce service est entièrement gratuit et sera organisé dans nos 50 communes.
Contact
Fiche pratique
Vérifié le 16/02/2022 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) Le salarié ayant des fonctions représentatives dans l'entreprise bénéficie d'une protection spéciale contre le licenciement. En plus de la procédure de licenciement habituelle, le licenciement est soumis à l'autorisation préalable de l'inspecteur du travail. Cette protection s'applique pendant des durées qui sont variables en fonction des mandats.
Le statut de salarié protégé permet de s'assurer que le licenciement du salarié n'a pas de lien avec ses fonctions de représentant du personnel. Cette protection vise également à le protéger d'éventuelles représailles de l'employeur. La protection est applicable au salarié qui occupe au moins une des fonctions suivantes :
À savoir la protection s'applique au titulaire comme au suppléant. La durée de la protection contre le licenciement varie en fonction du statut de chaque représentant du personnel. Le salarié candidat bénéficie d'une protection de 6 mois. La protection est applicable pendant toute la durée du mandat du salarié. À la fin du mandat, le salarié bénéficie d'une protection contre le licenciement d'une durée de 6 mois. Les personnes suivantes bénéficient d'une protection contre le licenciement : Cette protection ne bénéficie qu'à un seul salarié par organisation syndicale et aussi au 1 La protection a une durée de 6 mois. Le délai court à compter de la date à laquelle une organisation syndicale demande par courrier recommandé à l'employeur d'organiser les élections professionnelles. La protection est applicable pendant toute la durée du mandat du salarié. À la fin du mandat, le salarié bénéficie d'une protection contre le licenciement d'une durée de 12 mois (sauf s'il a exercé ses fonctions pendant moins d'un an). La protection est applicable pendant toute la durée du mandat du salarié. À la fin du mandat, le salarié bénéficie d'une protection contre le licenciement d'une durée de 12 mois (sauf s'il a exercé ses fonctions pendant moins d'un an). L’employeur doit respecter la procédure de licenciement habituelle prévue pour tout salarié qui présente cependant des particularités en fonction du motif de licenciement. Règles communes aux différents motifs de rupture L'employeur doit respecter la procédure de licenciement habituelle prévue pour tout salarié : Convocation du salarié L'employeur qui envisage de licencier un salarié pour motif personnel doit le convoquer à un entretien préalable. Cette convocation est faite par lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR) ou par lettre remise en main propre contre décharge. Cette lettre doit comporter les informations suivantes : Entretien préalable Un délai minimum de 5 jours ouvrables doit être respecté entre la présentation ou la remise en main propre contre décharge de la lettre de convocation et la date de l'entretien. La 1 Si le délai se termine un samedi, un dimanche, un jour férié ou chômé, il est prolongé jusqu'au jour ouvrable suivant. Pendant l'entretien, l'employeur expose les motifs de la décision envisagée et recueille les observations ou explications du salarié si nécessaire. Consultation du comité social et économique (CSE) La consultation du CSE sur le projet de licenciement du salarié protégé est facultative sauf si elle a été prévue par un accord collectif. Demande d'autorisation de licenciement L'employeur doit ensuite demander à l'inspecteur du travail l'autorisation de licencier le salarié protégé. La demande d'autorisation de licenciement est directement transmise à l'inspecteur du travail après l'entretien préalable. Si un accord collectif prévoit une consultation du CSE, cette demande doit être adressée dans les 15 jours suivant la délibération du CSE à l'inspecteur du travail. Elle lui est adressée par voie électronique ou par lettre recommandée avec avis de réception en 2 exemplaires. Le procès verbal de la réunion du CSE doit être joint à la demande. Enquête contradictoire de l'inspecteur du travail Avant de prendre sa décision, l'inspecteur doit procéder à une enquête dite contradictoire. Il auditionne personnellement et individuellement le salarié et l'employeur. Il recueille les arguments et explications de chacun. Le salarié prend connaissance de l'ensemble des pièces produites par l'employeur pour justifier le licenciement. Au cours de l'enquête, le salarié peut, sur sa demande, se faire assister d'un représentant de son syndicat. L'inspecteur du travail prend sa décision dans les 2 mois qui suivent la date de réception de la demande d'autorisation de licenciement. Passé ce délai et en l'absence de décision de l'inspecteur du travail, l'autorisation de licenciement est rejetée. Décision de l'inspecteur du travail La décision de l'inspecteur est argumentée et transmise aux personnes suivantes par lettre recommandée avec avis de réception (LRAR) : La poursuite de la procédure dépend de la décision de l'inspecteur du travail : L’employeur ne peut pas rompre le contrat de travail du salarié. Le salarié protégé doit être maintenu dans son activité professionnelle et son emploi aux conditions antérieures et percevoir son salaire. L'employeur peut notifier le licenciement au salarié par lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR). Le licenciement doit exclusivement reposer sur le motif qui a donné lieu à l'autorisation de l'inspecteur du travail. Étapes particulières à suivre pour chaque motif de licenciement Au-delà des règles communes, la procédure présente des particularités en fonction du motif de licenciement invoqué par l'employeur : La procédure de licenciement pour motif personnel applicable à tout salarié se cumule avec la procédure spéciale de licenciement des salariés protégés. L'employeur doit accomplir les formalités suivantes : La procédure de licenciement pour motif disciplinaire se cumule avec la procédure applicable au licenciement d'un représentant du personnel. L'employeur devra établir dans sa demande d'autorisation, la matérialité des faits reprochés au salarié, sinon le licenciement ne pourra pas être autorisé. Il devra par ailleurs respecter les dispositions suivantes : En cas de faute grave, l'employeur peut décider d'une mise à pied conservatoire le temps de la procédure. Les délais d'information de l'inspecteur du travail varient en fonction du mandat du salarié : La demande d'autorisation de licenciement doit être présentée à l'inspection du travail dans un délai de 8 jours à compter de la mise à pied.
À noter si l'inspection du travail refuse le licenciement, la mise à pied conservatoire est annulée et ses effets (absence de travail et de salaire) supprimés. L'employeur doit accomplir les formalités suivantes : La procédure est la suivante :
À noter si l'inspection du travail refuse le licenciement, la mise à pied conservatoire est annulée et ses effets (absence de travail et de salaire) supprimés. L'employeur doit accomplir les formalités suivantes : Le licenciement d'un représentant du personnel pour inaptitude oblige l'employeur à respecter 2 procédures suivantes : Recherche de reclassement et consultation du CSE À compter de la déclaration d‘inaptitude par le médecin du travail, l'employeur doit d'abord rechercher de postes de travail (ou des aménagements de postes) permettant le reclassement du salarié. L'employeur est dispensé de procéder à une recherche de poste de reclassement si le médecin du travail mentionne sur l'avis d'inaptitude que tout maintien du salarié dans un emploi serait gravement préjudiciable à sa santé. Lorsque l'employeur a procédé à sa recherche de postes de reclassement, il doit ensuite consulter le CSE sur les postes qu'il envisage de proposer au salarié. Cette consultation est obligatoire que l'inaptitude soit d'origine professionnelle (accident de travail par exemple) ou non professionnelle (maladie par exemple). Proposition de reclassement par l'employeur L'employeur doit proposer au salarié une offre sérieuse et précise de reclassement dans un emploi compatible avec les capacités réduites du salarié et les conclusions écrites du médecin du travail. Cette proposition peut être faite oralement ou par écrit. Procédure de licenciement L'employeur peut rompre le contrat de travail s'il justifie d'au moins une des 2 situations suivantes : L'employeur doit accomplir les formalités suivantes : Les formalités à respecter par l'employeur sont les suivantes : La procédure spéciale de licenciement se cumule avec la procédure de licenciement pour motif économique applicable dans cette situation. les formalités à respecter par l'employeur sont les suivantes : La procédure spéciale de licenciement se cumule avec la procédure de licenciement pour motif économique applicable dans cette situation. Les formalités à respecter par l'employeur sont les suivantes : La décision de l'inspecteur du travail visant à accepter ou rejeter le licenciement peut être contestée par l'employeur ou le salarié. Elle doit mentionner les délais et voies de recours possibles. Le recours peut être administratif ou contentieux. Recours administratif Le recours administratif permet à l'employeur ou au salarié protégé de contester la décision devant l'inspecteur du travail lui-même (recours gracieux) ou devant le ministre du travail (recours hiérarchique). Le recours administratif doit être formé dans les 2 mois à compter de la notification de la décision de l'inspecteur du travail. Le recours est considéré comme rejeté (décision implicite de rejet) dans les situations suivantes : Recours contentieux Le recours contentieux permet à l'employeur ou au salarié de contester la décision de l'inspecteur du travail devant Le tribunal administratif. Il peut être entrepris malgré l'absence de recours administratif. Il doit être formé dans les 2 mois qui suivent l'un des événements suivants:
Le statut de salarié protégé permet de s'assurer que le licenciement du salarié n'a pas de lien avec ses fonctions de représentant du personnel. Cette protection vise également à le protéger d'éventuelles représailles de l'employeur. La protection est applicable au salarié qui occupe au moins une des fonctions suivantes :
À savoir la protection s'applique au titulaire comme au suppléant. La durée de la protection contre le licenciement varie en fonction du statut de chaque représentant du personnel. Le salarié candidat bénéficie d'une protection de 6 mois. La protection est applicable pendant toute la durée du mandat du salarié. À la fin du mandat, le salarié bénéficie d'une protection contre le licenciement d'une durée de 6 mois. Les personnes suivantes bénéficient d'une protection contre le licenciement : Cette protection ne bénéficie qu'à un seul salarié par organisation syndicale et aussi au 1 La protection a une durée de 6 mois. Le délai court à compter de la date à laquelle une organisation syndicale demande par courrier recommandé à l'employeur d'organiser les élections professionnelles. La protection est applicable pendant toute la durée du mandat du salarié. À la fin du mandat, le salarié bénéficie d'une protection contre le licenciement d'une durée de 12 mois (sauf s'il a exercé ses fonctions pendant moins d'un an). La protection est applicable pendant toute la durée du mandat du salarié. À la fin du mandat, le salarié bénéficie d'une protection contre le licenciement d'une durée de 12 mois (sauf s'il a exercé ses fonctions pendant moins d'un an). Règles communes aux différents motifs de rupture L'employeur doit respecter la procédure de licenciement habituelle prévue pour tout salarié. Convocation du salarié L'employeur qui envisage de licencier un salarié pour motif personnel doit le convoquer à un entretien préalable. Cette convocation est faite par lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR) ou par lettre remise en main propre contre décharge. Cette lettre doit comporter les informations suivantes : Entretien préalable Un délai minimum de 5 jours ouvrables doit être respecté entre la présentation ou la remise en main propre contre décharge de la lettre de convocation et la date de l'entretien. La 1 Si le délai se termine un samedi, un dimanche, un jour férié ou chômé, il est prolongé jusqu'au jour ouvrable suivant. Pendant l'entretien, l'employeur expose les motifs de la décision envisagée et recueille les observations ou explications du salarié si nécessaire. Consultation du comité social et économique (CSE) L'employeur doit obligatoirement consulter le CSE si le projet de licenciement concerne un des représentants du personnel suivant : Le CSE est convoqué selon les règles de droit commun, comme pour une réunion ordinaire. La convocation doit toutefois mentionner certaines informations : Avant toute décision, le CSE procède à l'audition du salarié protégé concerné. La convocation du salarié à cette audition est obligatoire sinon l'avis rendu par le CSE n'est pas valable. La loi ne prévoit pas de délai particulier de convocation. Le CSE doit veiller à laisser au salarié un temps suffisant pour se préparer. Après audition du salarié, le CSE délibère et rend son avis par un vote à bulletin secret. L'employeur ne participe pas au vote du CSE mais le salarié concerné peut voter s'il est membre du CSE.
À savoir lorsqu'une entreprise n'a plus de CSE, la demande d'autorisation de licenciement est directement transmise à l'inspecteur du travail après l'entretien préalable. La consultation du CSE n'a pas lieu si le projet de licenciement concerne un des représentants du personnel suivant : Demande d'autorisation de licenciement L'employeur doit ensuite demander à l'inspecteur du travail l'autorisation de licencier le salarié protégé. Cette demande lui est adressée dans les 15 jours suivant la délibération du CSE par voie électronique ou par lettre recommandée avec avis de réception en 2 exemplaires. Le procès verbal de la réunion du CSEdoit être joint à la demande. Enquête contradictoire de l'inspecteur du travail Avant de prendre sa décision, l'inspecteur doit procéder à une enquête dite contradictoire. Il auditionne personnellement et individuellement le salarié et l'employeur. Il recueille les arguments et explications de chacun. Le salarié prend connaissance de l'ensemble des pièces produites par l'employeur pour justifier le licenciement. Au cours de l'enquête, le salarié peut, sur sa demande, se faire assister d'un représentant de son syndicat. L'inspecteur du travail prend sa décision dans les 2 mois qui suivent la date de réception de la demande d'autorisation de licenciement. Passé ce délai et en l'absence de décision de l'inspecteur du travail, l'autorisation de licenciement est rejetée. Décision de l'inspecteur du travail La décision de l'inspecteur est argumentée et transmise aux personnes suivantes par lettre recommandée avec avis de réception (LRAR) : La poursuite de la procédure dépend de la décision de l'inspecteur du travail : L’employeur ne peut pas rompre le contrat de travail du salarié. Le salarié protégé doit être maintenu dans son activité professionnelle et son emploi aux conditions antérieures et percevoir son salaire. L'employeur peut alors poursuivre la procédure et notifier au salarié sa décision de le licencier par lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR). Le licenciement doit exclusivement reposer sur le motif qui a donné lieu à l'autorisation de l'inspecteur du travail. Étapes particulières à suivre pour chaque motif de licenciement Au delà des règles communes, la procédure présente des particularités en fonction du motif de licenciement invoqué par l'employeur : La procédure de licenciement pour motif personnel applicable à tout salarié se cumule avec la procédure spéciale de licenciement des salariés protégés. L'employeur doit accomplir les formalités suivantes : La procédure de licenciement pour motif disciplinaire se cumule avec la procédure applicable au licenciement d'un représentant du personnel. L'employeur devra établir dans sa demande d'autorisation, la matérialité des faits reprochés au salarié, sinon le licenciement ne pourra pas être autorisé. Il devra par ailleurs respecter les dispositions suivantes : En cas de faute grave, l'employeur peut décider d'une mise à pied conservatoire le temps de la procédure. Les délais d'information de l'inspecteur du travail varient en fonction du mandat du salarié : La procédure est la suivante :
À noter si l'inspection du travail refuse le licenciement, la mise à pied conservatoire est annulée et ses effets (absence de travail et de salaire) supprimés. L'employeur doit accomplir les formalités suivantes : La procédure est la suivante :
À noter si l'inspection du travail refuse le licenciement, la mise à pied conservatoire est annulée et ses effets (absence de travail et de salaire) supprimés. L'employeur doit accomplir les formalités suivantes : Le licenciement d'un représentant du personnel pour inaptitude oblige l'employeur à respecter 2 procédures suivantes : Recherche de reclassement et consultation du CSE À compter de la déclaration d‘inaptitude par le médecin du travail, l'employeur doit d'abord rechercher de postes de travail (ou des aménagements de postes) permettant le reclassement du salarié. L'employeur est dispensé de procéder à une recherche de poste de reclassement si le médecin du travail mentionne sur l'avis d'inaptitude que tout maintien du salarié dans un emploi serait gravement préjudiciable à sa santé. Lorsque l'employeur a procédé à sa recherche de postes de reclassement, il doit ensuite consulter le CSE sur les postes qu'il envisage de proposer au salarié. Cette consultation est obligatoire que l'inaptitude soit d'origine professionnelle (accident de travail par exemple) ou non professionnelle (maladie par exemple). Proposition de reclassement par l'employeur L'employeur doit proposer au salarié une offre sérieuse et précise de reclassement dans un emploi compatible avec les capacités réduites du salarié et les conclusions écrites du médecin du travail. Cette proposition peut être faite oralement ou par écrit. Procédure de licenciement L'employeur peut rompre le contrat de travail s'il justifie d'au moins une des 2 situations suivantes : L'employeur doit accomplir les formalités suivantes : Les formalités à respecter par l'employeur sont les suivantes : La procédure spéciale de licenciement se cumule avec la procédure de licenciement pour motif économique applicable dans cette situation. Les formalités à respecter par l'employeur sont les suivantes : La procédure spéciale de licenciement se cumule avec la procédure de licenciement pour motif économique applicable dans cette situation. Les formalités à respecter par l'employeur sont les suivantes : La décision de l'inspecteur du travail visant à accepter ou rejeter le licenciement peut être contestée par l'employeur ou le salarié. Elle doit mentionner les délais et voies de recours possibles. Le recours peut être administratif ou contentieux. Recours administratif Le recours administratif permet à l'employeur ou au salarié protégé de contester la décision devant l'inspecteur du travail lui-même (recours gracieux) ou devant le ministre du travail (recours hiérarchique). Le recours administratif doit être formé dans les 2 mois à compter de la notification de la décision de l'inspecteur du travail. Le recours est considéré comme rejeté (décision implicite de rejet) dans les situations suivantes : Recours contentieux Le recours contentieux permet à l'employeur ou au salarié de contester la décision de l'inspecteur du travail devant Le tribunal administratif. Il peut être entrepris malgré l'absence de recours administratif. Il doit être formé dans les 2 mois qui suivent l'un des événements suivants: Au delà des règles communes, la procédure présente des particularités en fonction de l’effectif de l'entreprise et du motif de licenciement invoqué par l'employeur.
Code du travail : articles L2411-1 à L2411-2
Bénéficiaires
Code du travail : article L2411-3
Durée de la protection (Délégué syndical)
Code du travail : article L2411-4
Durée de la protection (Salarié mandaté par un syndicat)
Code du travail : article L2411-5
Durée de la protection (membre élu de la délégation du personnel du CSE, titulaire ou suppléant ou d'un représentant syndical au CSE),
Code du travail : article L2411-6
Durée de la protection (salarié ayant demandé à l'employeur d'organiser les élections au CSE ou d'accepter d'organiser ces élections).
Code du travail : article L2411-7
Durée de la protection (candidat, au premier ou au deuxième tour, aux fonctions de membre élu de la délégation du personnel du CSE, à partir de la publication des candidatures).
Code du travail : article L2411-8
Autorisation de l'inspection du travail
Code du travail : article L2411-9
Représentant de proximité
Code du travail : article L2411-10
Durée de la protection après cessation du mandat (CSE)
Code du travail : article L2411-13
Licenciement d'un représentant du personnel d'une entreprise extérieure à la commission santé, sécurité et condition de travail
Code du travail : article L2411-16
Licenciement représentant des salariés
Code du travail : article L2411-21
Licenciement conseiller du salarié
Code du travail : article L2411-22
Licenciement du conseiller prud'homme
Code du travail : articles R2421-1 à R2421-7
Délégué syndical, salarié mandaté et conseiller du salarié
Code du travail : articles R2421-8 à R2421-16
Délégué du personnel, membre du comité d'entreprise et membre du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail
Code du travail : article R2422-1
Contestation de la décision administrative
Code du travail : article L2421-3 à L2421-6
Procédure applicable en cas de licenciement
Le licenciement pour motif économique Travail - Formation
Procédure de licenciement pour motif personnel Travail - Formation
Guide relatif au rupture de contrat de travail des salariés protégés
Ministère chargé du travail
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Direction de l'information légale et administrative
Licenciement : protection du représentant du personnel
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